J’ai bien fait le tour de la question, je suis bien coincé. Il faut dire qu’avant, j’avais aussi bien fait à fond le tour du propriétaire, ou plutôt de la propriétaire.
Quelle classe, ces femmes de la cinquantaine ! Comment s’appelle-t-elle déjà ? Marlène ? Quelle expérience ! Quel appétit ! Quelle gourmandise pour mes vingt six ans ! J’en suis tout retourné.
Maintenant elle dort à côté de moi, seulement habillée de cette légère moiteur qui rend son corps si craquant. Comment fait-elle pour avoir une peau qui sente si bon ? On dirait une pêche légèrement caramélisée. A vous donner envie d’en reprendre.
Si son blaireau de mari, qui devait passer l’après-midi à la pèche au gros, n’était pas rentré trop tôt.
Il a posé sa grosse paluche sur les volets à claire-voie de la porte fenêtre de la chambre. A juger d’après sa taille le monsieur doit être du genre costaud. Il parle avec un autre homme de la partie de pêche annulé. Mais d’un instant à l’autre il peut ouvrir les volets et entrer dans la chambre. Pas moyen de s’échapper.
Aïe, aïe, aïe ! Quand il va me voir, il va me faire une tête au carré. Il va falloir que je raconte à Elodie que je suis une fois de plus tombé dans les escaliers pour expliquer mes coquards.
J’ai beau faire le tour de la question, je suis bel et bien coincé !
vendredi 11 janvier 2008
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2 commentaires:
Oui ! Coincé de chez coincé ;~))
Bon tu donnes dans le club med? C'est très drôle.
Se méfier des femmes de la cinquantaine, redoutables!
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